Uber au cœur de multiples scandales


Depuis quelques mois, Uber est sur la sellette. La firme de San Francisco enregistre des scandales à répétitions qui peuvent avoir des répercussions néfastes sur son image.  Ces déboires commencent à effet de nombreux clients qui n’hésitent pas à bouder les services d’Uber. 

L’affaire Susan Folwer

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Uber a secoué de nombreux individus après l’annonce de Susan Folwer. Cette dernière qui est un ingénieur au sein de la firme, a affirmé qu’elle était victime d’harcèlement sexuel et de propose sexistes. Dans son intervention, elle raconte qu’une semaine seulement après son intégration chez Uber, elle a reçu des sms à caractères sexuels de la part de son chef hiérarchique direct. Lorsqu’elle a fait part de cet incident aux responsables RH de la start-up, ces derniers ont jugés que l’affaire ne mérite pas d’être considérée. Mais, elle a gagné de l’ampleur après que d’autres employés de la société ont affirmé avoir vécu des expériences identiques. 

Démission d’un haut dirigeant

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Uber a mis en œuvre tous les moyens et les arguments pour s’offrir les services de Jeff Jones, un ancien expert marketing de Target. Ce dernier fût nommé en Aout 2016 au poste de président d’Uber Technologies. Mais à la surprise générale et après quelques mois seulement de sa prise de fonction, ce haut dirigeant a pris la décision de démissionner de chez Uber. La raison est une divergence de point de point de vue avec le Travis Kalanick, fondateur de la firme américaine. Selon des indiscrétions au sein d’Uber, vice-président en charge du programme de cartographie serait sur le point d’emprunter la même voie. 
Des employés et partenaires mécontents
Des employés ont également haussé leur voie pour se plaindre des conditions de travail imposées au sein d’Uber. Et pour couronner le tout, Google, qui est l’un des plus importants partenaires de la firme accuse cette dernière de lui avoir volé un programme sur la voiture autonome.